Robert Guédiguian est bien davantage qu’un cinéaste évoquant le foisonnement de la Babel méditerranéenne que représente Marseille dans la majorité de ses films, vingt-trois longs-métrages. Ce militant du cinéma dans sa diversité se refuse à filmer l’extrême-droite ou la violence gratuite pour ne pas les banaliser ou leur laisser le dernier mot, mais, à travers une œuvre, il entretient le feu de l’utopie sociale, afin de nourrir le rêve de lendemains qui chantent encore.

Entretien d’Hacène Belmessous

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